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Béatrice Bonhomme

Le mot, la mort, l’amour

Collier, Peter / Collier, Peter / Tomas, Ilda
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Bibliografische Daten
ISBN/EAN: 9783034307802
Sprache: Französisch
Umfang: 436
Format (T/L/B): 22.0 x 15.0 cm
Einband: gebundenes Buch

Beschreibung

Ce fête l’œuvre de Béatrice Bonhomme et en fait l’analyse critique. Depuis vingt ans Bonhomme nourrit la poésie française de sa contribution d’écrivain, de professeur de lettres, d’éditrice de la revue où elle accueille les meilleurs poètes de notre temps. Cet ouvrage examine les liens entre son travail et celui d’autres artistes.

Autorenportrait

Peter Collier est professeur émérite de lettres françaises à l’Université de Cambridge. Il est directeur des collections « Modern French Identities » et « European Connections » aux éditions Peter Lang. Il est l’auteur de (2005), co-présentateur de plusieurs ouvrages sur le modernisme et traducteur de Balzac, Bourdieu, Zola et Proust. Ilda Tomas est professeur de littérature française à l’Université de Grenade. Sa thèse de doctorat, soutenue à la Sorbonne, a été publiée sous le titre ; l’ouvrage a obtenu le prix Mac Orlan en 1990. Ses principaux domaines de recherche portent sur la littérature française du XXe siècle et la francophonie du Maghreb, la poésie française et francophone, ainsi que les liens entre littérature et arts.

Inhalt

Contenu : Ilda Tomas : Introduction – Béatrice Bonhomme : « Les mots morts » (poème manuscrit), « Précarité de la lumière » (poème manuscrit), « Le pacte des mots » – Stello Bonhomme : « On décline toujours la même courbe » (poème), « Mon merle a perdu son œil » (dessin) – Arnaud Villani : « L’élue de Dante » (poème), « Regard du peintre » (poème) – Hervé Bosio : « Et pour cette rencontre » (poème) – Jean-Marie Barnaud : Béatrice Bonhomme : une enfance sauvegardée – Dorothée Catoen-Cooche : Entretien avec Béatrice Bonhomme avec biographie – Isabelle Raviolo : Présence du père dans la poésie de Béatrice Bonhomme – Arnaud Beaujeu : « La Primavera » (poème) – Serge Popoff : « Arbres multiples » (dessin), « Pour Serge » (poèmes de Michèle Lester and Peter Collier) – Pierre Caizergues : « Un tombeau vide » (poème) – Peter Collier : « Le ludion » (poème), « À la Rothko » (poème), « Les morts oublient » (poème) – Alexandre Eyries : « Un murmure d’eau » (poème) – François Garros : « Et le point noir au centre de la fleur est déjà la mort » (poème), « Acquis par la lumière » (poème de Béatrice Bonhomme pour illustrer les peintures de François Garros) – Eugène Michel : Émouvante élégie – Jacques Moulin : Poèmes – Thanh-Vân Ton-That : « Paysage d’été » (poème) – Geneviève Guetemme : Entre le dire et le voir : le nu, la photographie – Clémence O’Connor : Étoilement du poème : légèreté et d’une écriture – Jean-Paul Louis-Lambert : : Une femme-poète de l’homme-poète – Serge Popoff : Nature morte de la fresque abandonnée (images) – Rafael Ruiz Alvarez : Le lyrisme du dramaturge : la dramaturgie du poète – Claude Ber : Variations autour de la perte ou le regard mélancolique – Benoît Conort : Écrire (au féminin) le deuil : premières approches – Françoise Delorme : « De naissance à mourir », « une brûlure constellaire » – Régis Lefort : Le deuil et l’élancement : langage et mort dans le poème de Béatrice Bonhomme – Évelyne Lloze : Écrire le deuil dans l’œuvre poétique de Béatrice Bonhomme – Myriam Watthee-Delmotte : Faire reconnaître l’absent : poésie et rites mortuaires chez Béatrice Bonhomme – Marie-Claire Bancquart : Béatrice et le monde végétal – Alexandre Eyries : Béatrice Bonhomme, le souffle et la lumière – François Garros : Le corps-poème dans l’œuvre poétique de Béatrice Bonhomme – Tristan Hordé : Quelques pas vers les oiseaux – Marie Joqueviel-Bourjea : « Dans la simplicité des pierres et des feuilles » : Béatrice Bonhomme, la vie plurielle – Mercedes Montoro Araque : Foisonnement corporel, explosion sensorielle ou la poétique du corps dans de Béatrice Bonhomme – Mycéala Symington : La femme et la faille – Gabrielle Althen : Béatrice Bonhomme ou les paradoxes du poème – Michaël Bishop : Béatrice Bonhomme : l’irréductible, entre dystopie et outopos – Éric Dazzan : : éléments de lecture – Philippe Grosos : Poésie nue et bleue – Filomena Iooss : Le grain bleu de la voix dans – Pierre-Yves Soucy : Ce qui ne peut s’interrompre (autour de la poésie de Béatrice Bonhomme) – Ilda Tomas : Caresse et carence : « l’absence infinie ».